8. Jambville à Conflans-Sainte-Honorine
Cette étape vous offre des moments en forêt qui seront de plus en plus rares en vous rapprochant du bord de la Seine avec de coquettes résidences et une population plus dense. La ville de Conflans-Sainte-Honorine avec son port de plaisance à une réputation de ville idéale à vous de juger.
Les 10 patrimoines à découvrir
- Historiques
Chateau de Jambville
Le château de Jambville repose sur des caves voûtées du XIIIème siècle et remplace un premier château du XIVème siècle.
Le deuxième château a été construit au XVIIème siècle autour de la tour comportant un escalier à vis. Devant ce bâtiment se trouvait un jardin à la française. Dans les années 1760, la famille de Maussion dont les armes ornent toujours le château achètent la propriété et la transforme entièrement.
Le château est agrandi et le corps principal est construit avec ses deux frontons. Le bâtiment est alors orienté nord-sud. Le jardin à la française est remplacé par un parc à l'anglaise agrémenté de folies (monuments décoratifs) comme le temple grec, la mare aux faisans ou St Damien. L'allée des tilleuls est alors créée pour donner cette magnifique perspective.
Aujourd’hui le château est un centre de formation pour les Scouts et Guides de France depuis 1952.
Plus d’informations site du Centre de formation
- Touristiques
L'église Saint-Sulpice à Seraincourt
L'église, bâtiment communal classé monument historique, est remarquable par le chœur voûté et berceau (fin XIe siècle) et par les baies géminées du clocher (XIIe siècle) coiffé d'un toit en bâtière.
Ce clocher roman, l’un des plus anciens du Vexin, s’élève au-dessus d’une voûte d’arêtes, sur quatre piliers massifs ornés de chapiteaux diversement sculptés.
Les chapelles des XIIIe et XIVe siècles, la nef rebâtie entre 1857 et 1863, illustrent les aménagements liés au déroulement de l’histoire du village.
Placée sous le vocable de Saint-Sulpice, la paroisse a été desservie jusqu’en 1793 par les chanoines réguliers de l’Ordre de Prémontré fondé par Saint Norbert. A présent elle fait partie du secteur paroissial de Fontenay-Saint-Père, diocèse de Versailles.
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- Touristiques
Église Notre-Dame de l’Assomption à Gaillon-sur-Montcient.
D’après la tradition cette église aurait été construite par le comte de Meulan, Galéran II. Il était un des fidèles partisans du roi d'Angleterre. En 1204 le roi Philippe II Auguste confisque le comté, qui est rattaché au Domaine royal.
L’édifice construit au XIIe siècle fut agrandi au XIIIe siècle. Au premier regard on voit un ensemble trapu qui enchâsse en partie le clocher surmonté d’une flèche en pierre. Au cours des siècles les travaux se succèdent mais la nef reste sous dimensionnée par rapport à l’ensemble.
L’église a conservé son portail roman, sans linteau ni tympan. A l’intérieur vous pouvez admirer les fonds-Baptismaux (XIIe siècle), une Vierge à l’Enfant et un Christ en croix (XVIe siècle).Plus d’informations Wikipédia
- Touristiques
L'église Saint-Nicolas de Tessancourt-sur-Aubette
L’église daterait du XIe siècle, il subsiste son clocher élevé sur quatre piliers carrés avec voutes d’arêtes et formé d’une souche de pierre surmontée d’une flèche de pierre. La nef unique est non voûtée et l’abside à pans coupés voûtée en cul-de-four donne à l’ensemble une architecture est extrêmement sobre. Vers le milieu du XIIe siècle, la nef est agrandie par l'adjonction de bas-côtés au nord et au sud.
Le clocher roman trapu paraît inachevé : il semble lui manquer un étage octogonal. Initialement le clocher était libre au nord et au sud. Au XVIe siècle, une chapelle seigneuriale d'un style indéfinissable a été ajoutée au sud, et ultérieurement, une sacristie a été bâtie au nord. C'est surtout l'intérieur de l'église qui conserve toute son authenticité.
Le mobilier de l’église vaut une visite comme les fonds baptismaux du XVIe siècle et un statuaire très fourni.Plus d’informations Wikipédia
- Touristiques
L’Église Notre-Dame-de-l ’assomption à Evecquemont
Il ne reste rien du prieuré bénédictin et de son église fondée au 11e siècles par les moines de Fécamp si ce n'est les fondations retrouvées lors de la restauration de 1978. L’édifice subit divers remaniements aux 13e, 16e, 19e siècles.
La partie la plus intéressante est l'entrée. Construite vers la seconde moitié du XIème siècle, et attribuée à Nicolas Mercier. Ce porche est encadré de deux colonnes surmontées de chapiteaux ornés de feuilles d'acanthe, rehaussé d'un fronton qui était orné d'une frise, aujourd'hui cachée sous une couche de plâtre.
Intérieurement, le bas-côté de style renaissance, est édifié vers la moitié du XVIème siècle. Sur l'un des piliers se trouve le monogramme de François1er (salamandre).Plus d’informations : site de la ville d’Evecquemont
- Touristiques
Église Saint-Martin à Triel-sur-Seine
Au premier siècle de notre ère, Saint Nicaire, disciple de Saint Denis, résida dans notre région pour évangéliser les habitants des bords de Seine à Conflans-Sainte-Honorine et à Mantes-la-Jolie en passant par Triel (Triellum en langue latine), prouvant l’origine de la commune.
Triel tirerait son nom de l’existence de trois îles formées par le cours de la Seine à l’endroit où la voie romaine franchissait le fleuve.
L’église, commencée sous Saint Louis, au milieu du XIIIème siècle, s’élève sur les fondations d’un édifice cultuel plus ancien, ainsi que l’atteste la découverte de sarcophages mérovingiens que l’on peut admirer au musée des antiquités nationales à St Germain-en-Laye. De cette construction primitive subsistent la nef et ses deux bas-côtés, le transept et les deux travées qui précèdent la montée au chœur.
La restauration entreprise au XVIème siècle avec la construction du chœur, au-dessus du "chemin du Roy" afin de laisser un passage pour les piétons, comme le prévoyaient les édits royaux, lui donne ce caractère original que l’on ne rencontre que dans deux autres églises en France seulement.Plus d’informations sur le site de la ville de Triel-sur-Seine.
- Culturels
Quai de seine, la péniches théâtre et restaurant, la péniche chapelle à Conflans-Sainte-Honorine
L’activité fluviale importante explique la présence au bord des quais de péniches « restaurant, » ou « théâtre », et aussi la péniche « je sers ». Ce chaland construit en béton en 1919 servit d’abord au transport du charbon. Il est devenu le siège de l’entraide sociale batelière en1935, puis la chapelle flottante des mariniers en 1936.Il est également maintenant un lieu d’accueil pour les migrants, surtout tibétains, depuis 2014. L’établissement scolaire voisin a été d’abord réservé aux enfants de mariniers.
- Historiques
Tour Montjoie à Conflans Sainte-Honorine
Le nom de ce donjon viendrait de « Mons Jovis » (mont Jupiter), désignant l’éperon rocheux sur lequel il repose, idéal pour surveiller la Seine. Édifiée à la fin du XIe siècle sur les restes d’une fortification en bois incendiée lors d’une guerre féodale, cette tour présente des dimensions imposantes (15 mètres de hauteur et trois niveaux) et constitue un élément majeur du paysage du Vieux-Conflans. Il s’agit d’un témoin précieux de la première génération des châteaux de pierre en Île-De-France, l’un des plus beaux spécimens de donjon roman quadrangulaire subsistant dans la région. Privé de toiture au XVIe siècle, il demeura le siège de la baronnie de Conflans jusqu’à la Révolution. Les faces ouest et sud présentent des fenêtres géminées fort rares dans l’architecture militaire de ce temps. La tour fut donnée à la Ville en 1931 par la famille Cornudet.
Source de l’information, ville de Conflans-Sainte-Honorine
- Historiques
Château de Conflans-Sainte-Honorine
Le château du Prieuré appartient à la ville « haute » de Conflans, avec son église Saint-Maclou et la tour Montjoie, donjon du XIe s.
Il se situe à l’emplacement d’un ancien prieuré de sainte Honorine (d’où son nom) fondé en 1080 par Ives III de Beaumont, dit “le clerc”. Seul le cellier du XIII ème siècle subsiste.
Le prieuré connaît une grande prospérité, les reliques de sainte Honorine faisant l’objet d’un pèlerinage très fréquenté (d’où le nom de la ville). Il est vendu comme bien national à la Révolution. Jules Gévelot, riche industriel, créateur de la célèbre marque de cartouches de chasse qui porte son nom, député de l’Oise et maire de Conflans-Sainte-Honorine, rachète les divers lots et reconstitue le domaine des religieux ; puis à partir de 1865, il réaménage les bâtiments et le parc comme résidence personnelle dans le style Napoléon III, tels qu’on les voit aujourd’hui.
La propriété est achetée par la commune en 1932.
Aujourd’hui le château abrite le musée de la batellerie
Site du musée de la batellerie - Touristiques
Église Saint-Maclou à Conflans-Sainte-Honorine
La construction de l’église remonte au XIe siècle plusieurs restaurations et agrandissement vont se succéder jusqu’au XIXe siècle. Vers 1800, les reliques de sainte Honorine y furent transportées. Reliques auxquelles furent ajoutées celles de saint Samson et de sainte Marguerite. L’édifice comporte une nef gothique avec des bas-côtés séparés du chœur par une imposante travée du XIIe siècle supportant le clocher, dont la flèche abattue par la foudre, a été reconstruite en 1927. D’importants travaux de restauration ont été entrepris ces dernières années sur les façades est, puis ouest, le porche ainsi que les sculptures, vitraux, chevet et menuiseries.
Plus d’informations Wikipédia
Description
Depuis le parvis de l’église de Jambville, prendre la rue de Moustier, à droite sentier du Marais DuVal, rue du clos Denise à Seraincourt, traverser la rue des Vallées, rue de la Bernon. Balisage rouge et blanc jusqu’à Conflans-Sainte-Honorine
- À gauche rue de la Bernon, traverser D43, en face chemin des Carrières, au virage à gauche continuer tout droit sur chemin de terre, chemin Mantois rester sur votre gauche, au carrefour des 4 chemins dans le bois deuxième chemin à droite
- Au carrefour à droite au carrefour rester sur votre gauche, à Gaillon-sur-Montcient, au carrefour tout droit rue de la Cavée, à droite Grande Rue, à gauche passer devant l’église, rue du point du Jour, à gauche rue des Bouts de la Vallée, aussitôt à droite, sentier de la Tessancourt tout droit au virage à gauche, continuer sur chemin de terre, traverser D28
- À Tessancourt-sur-Aubette, à droite chemin de Gaillon, tout droit place de l’église, à gauche chemin du Moulin Brûlé, tourner à droite sur la rue du Moulin Brûlé, à l’intersection à droite chemin de la Mareche, à gauche rue du Pré aux Loups, traverser la Vieille Route de Meulan à sagy, tout droit aux carrefours suivants
- Traverser avec prudence D 922, rue Maurice Dubois à Évecquemont, à gauche rue Edhémar tout droit pour traverser le village à hauteur du 2 rue Adhémar, prendre deuxiéme rue à gauche, rue des Bouillons, chemin des Bois Bouillon, à la bifurcation à droite, chemin du Bois de bouillon
- À Vaux-sur-Seine traverser rue du Moulin à Vent en face rue Armand Raulet, à droite chemin du Plant de Fortvache, chemin des Fortes Terres, au carrefour avec panneau sans issue tourner à droite, chemin des Jeunes Plantes, continuer sur le chemin piétons, à droite rue Auguste Dolnet et à gauche Sente Quiéte, continuer tout droit boulevard d’Angibout
- À l’intersection à droite rue du temple, avant le pont du chemin de fer à gauche rue du Bel Air, bifurquer à gauche sur chemin des Feuillerets, bifurquer à droite chemin des Carrières et du Bel-Air, continuer sur chemin de terre,
- Au carrefour à droite chemin des Carrières et du Bel-Air, chemin des Haumonts, devant la première maison à droite prendre à gauche Première Sente des Haumonts, au carrefour Sentier des Hautmonts, tout droit chemin des Mareilles, légèrement à gauche chemin de Beauregard, Grande Sente des Beauregards
- À Triel-sur-Seine, première rue à droite rue des Bois, au carrefour tout droit place des Marronniers, à gauche carrefour D2 rue de la Chapelle, prendre l’escalier tout de suite à droite rue Octave Mirbeau, rester sur votre gauche au croisement rue Octave Mirbeau, au carrefour tout droit rester sur rue Octave Mirbeau, à la fin de la rue Octave Mirbeau à droite descendre rue des Picardes
- À gauche sentier herbeux longeant la propriété au 1 Première Sente du Battoir, tout droit prendre escalier à droite, à gauche avenue de la Forêt, chemin à gauche Sente des Marais descendre vers lotissement de Chanteloup-les-Vignes à gauche Grande Sente des Marais, à droite à l’intersection rue des Marais à gauche rue de Pissefontaine, devant l’église à gauche puis légèrement à droite rue de l’Abreuvoir au carrefour tout droit rue du Chapitre
- Troisième rue à droite Grande Sente des Fontaines, continuer sur chemin de terre tout droit dans Chemin de la Croix Saint-Marc sur 20 mètres à gauche chemin en logeant la station d’épuration, à gauche Sente des Beaunes à droite rue des Coteaux, à droite rue de l’Hautil, première rue à droite Sente des Cures, à gauche chemin Sentes des Beaunes, traverser la D 55 prendre en face de vous Sente des Barils, à droite sur sente des Barils, poursuivre rue des Barils
- Traverser l’avenue des Coutayes prendre le chemin vers la voie ferrée à gauche prendre le pont sur la voie ferrée rue de l’Hautil, à droite longer le cimetière et la voie ferrée, Sente Rurale du Cimetière, prendre à gauche impasse des Barils, rue Marcotte, à gauche rue des Courcieux, rue de l’église passer devant l’église, à droite devant le 34 rue de l’Église, à gauche boulevard Noël Marc, rester au bord de la Seine, avenue du Général Charles-de-Gaulle.
- Prendre le pont de Conflans pour traverser l’Oise, redescendre sur la rive de Seine, Cours de Gimay, chemin de Touage, promenade François Mitterrand, à la halte fluviale à gauche prendre rue René Albert, au 39 rue René Albert prendre l’escalier à gauche, à droite rue de la Savaterie, dirigez-vous vers l’église Saint-Maclou vous êtes arrivé.
- Départ : Église Notre-Dame de l’Assomption, 78 440 Jambville
- Arrivée : Église Saint-Maclou, 8 Place de l’Église, 78 700 Conflans-Sainte-Honorine
- Communes traversées : Île-de-France
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