5. Les Andelys à Vernon

Contemporaine de Château-Gaillard, elle date de 1202, et présente une structure en forme de croix grecque. Elle a échappée à la destruction en devenant un lieu de stockage à la révolution.  Remarquer à l’extérieur la statue du christ bénissant du XIII siècle. Le chœur est gothique, et l’orgue D’Ingoult date de 1674.

Plus d’informations : Wikipédia

Nous vous invitons à visiter la collégiale Notre-Dame du Grand Andelys. Construite en 1225 sur les ruines d'une abbaye de femmes fondée en 511 par sainte Clotilde, épouse de Clovis Ier, c'est la plus ancienne fondation de monastère attestée en Haute Normandie.

Plus d’informations : Wikipédia

L’histoire du site commence à l’époque gallo-romaine avec la création du village des Andelys.
Richard Cœur de Lion, Roi d'Angleterre et Duc de Normandie, séduit par la position du site, fît ériger Château Gaillard sur une falaise pour protéger le duché et Rouen, sa capitale. Véritable chef-d'œuvre de l'architecture militaire en avance sur son temps, la forteresse ne résistera cependant pas aux assauts de Philippe Auguste en 1204. Repris par les Anglais au cours de la Guerre de Cent Ans, le fort est définitivement abandonné devant les progrès de l'artillerie. Carrière de pierres à partir de 1603, son démantèlement prend fin en 1611.
Ces ruines majestueuses du Château-Gaillard ont inspiré les Romantiques anglais, les peintres impressionnistes, les poètes et les écrivains contemporains.
Source Normandie Tourisme

Plus d’informations : Wikipédia

La tradition prétend que saint Ethbin, un moine armoricain, mort en Irlande au VIe siècle, aurait été inhumé au VIIe siècle au monastère de Port-Mort, détruit au IXe siècle.

Ses reliques sont conservées dans une chapelle qui lui est dédiée dans l'église Saint-Pierre (1875). Deux fois par an, le dimanche après l'Ascension et le 20 octobre, de nombreux pèlerins, après être passés sous les reliques exposées à la porte de l'église, se rendaient en procession jusqu'au dolmen où était censé être enterré le saint homme. Arrivés là, ils s'inclinaient sous la pierre et la traversaient pieusement, dans le but d'obtenir la guérison des maux de reins.

Vers 1868, des fouilles sont entreprises sous le dolmen par l'abbé Lecoq, curé de Guiseniers, et des ossements humains y sont trouvés. Deux ans plus tard, le mauvais état du monument justifie aux yeux du curé de Port-Mort, l'abbé Bostel, sa destruction et son remplacement par un monument neuf. D'après de Pulligny, les blocs du dolmen ont servi de fondations au nouveau lieu de pèlerinage.

Plus d’informations Wikipédia

La tradition prétend que saint Ethbin, un moine armoricain, mort en Irlande au VIe siècle, aurait été inhumé au VIIe siècle au monastère de Port-Mort, détruit au IXe siècle.

Ses reliques sont conservées dans une chapelle qui lui est dédiée dans l'église Saint-Pierre (1875). Deux fois par an, le dimanche après l'Ascension et le 20 octobre, de nombreux pèlerins, après être passés sous les reliques exposées à la porte de l'église, se rendaient en procession jusqu'au dolmen où était censé être enterré le saint homme. Arrivés là, ils s'inclinaient sous la pierre et la traversaient pieusement, dans le but d'obtenir la guérison des maux de reins.

Vers 1868, des fouilles sont entreprises sous le dolmen par l'abbé Lecoq, curé de Guiseniers, et des ossements humains y sont trouvés. Deux ans plus tard, le mauvais état du monument justifie aux yeux du curé de Port-Mort, l'abbé Bostel, sa destruction et son remplacement par un monument neuf. D'après de Pulligny, les blocs du dolmen ont servi de fondations au nouveau lieu de pèlerinage.

Plus d’informations Wikipédia

L'église de la paroisse de Saint-Pierre de Port-Mort, datant du XVe / XVIe siècle, était située dans l'enceinte du cimetière actuel, rue du Port. L'axe de l'église était dirigé nord-ouest ; elle se composait d'une large nef et d'un chœur rectangulaire au sud-est duquel s'élevait la tour carrée du clocher, les fenêtres étaient des baies flamboyantes de style fin XVe siècle. Elle fut vendue en 1880 à une entreprise de démolition après la construction de l'actuelle église. Du bâtiment original n'ont été sauvegardés que la croix du clocher et une colonne, toutes deux conservées dans le cimetière et quatre vitraux du XVIe siècle, qui furent restaurés en 1875 et intégrés à la nouvelle église.

Plus d’informations

Monument Historique, la collégiale Notre Dame est considérée comme l’un des plus beaux spécimens de l’architecture médiévale en France. Construite entre le XIème et le XVIème siècle, elle est composée de différents styles architecturaux : le chœur et le transept sont en style roman tandis que le reste du bâtiment a été reconstruit dans différents styles gothiques (gothique rayonnant, flamboyant et tardif). A l’intérieur de la bâtisse, vous découvrirez un orgue datant du début du XVIIème siècle et restauré en 1979. De magnifiques vitraux abstraits ont été installés dans les années 70 en remplacement de ceux détruits pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Plus d’informations Wikipédia